La Nuit des Lompolo 2024 a déroulé son tapis aux professionnels des arts de la scène. C’était ce 15 novembre 2024 au Centre National des Arts du Spectacle et de l’Audiovisuel (CENASA) avec pour parrain, Dr Jacob Yarabatioula.
Etaient présents à ladite cérémonie, le premier ministre Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, le ministre d’Etat, ministre en charge de la Culture, Jean Emmanuel Ouédraogo et les acteurs culturels.
Ce sont au total 23 prix décernés à cette nuit des Lompolo 2024. La tenue de cette édition après les trois éditions antérieures témoigne de la vivacité et de la capacité de résilience des acteurs culturels burkinabè.
En tous les cas, le parrain de la cérémonie, le Dr Jacob Yarabatioula a salué le dynamisme de cette 4ème édition qui est comme une invite à la responsabilité pour une participation active à la cohésion sociale et du vivre ensemble.
Et le Ministre d’Etat, ministre en charge de la culture d’aller droit au but en disant que les acteurs culturels burkinabè étaient même en phase avec les aspirations des plus hautes autorités du Burkina.
«Cette édition de relance est une preuve manifeste que la culture reste l’un des secteurs les plus actifs et que les acteurs sont en phase avec les aspirations des plus hautes autorités du pays », a -t-il laissé entendre.
La soirée a été aussi l’occasion pour les uns et les autres de découvrir les talents cachés derrière les différentes domaines que sont entre autres, le théâtre, humour et le conte.
Au delà des récompenses en numéraires, chaque lauréats a été gratifié pendant cette soirée d’un trophée et d’une attestation de reconnaissance du ministère de tutelle. Plusieurs récompenses collectives et individuelles ont été également attribuées au cours de la soirée. Il s’agit entre autres de l’Espace culturel Gambidi, le Festival international de théâtre et de marionnettes de Ouagadougou/Festival des arts du Burkina (FITMO/FAB), Mahamadou Tindano et sa compagnie Théâtre les Empreintes, « Epouse-moi » de Philomaine Nanema et Malick Sawadogo pour sa critique journalistique.
Rebecca SAWADOGO
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