Atelier sur les accords de coopération cinématographique et audiovisuelle entre le Burkina Faso et les autres pays

Atelier sur les accords de coopération cinématographique et audiovisuelle entre le Burkina Faso et les autres pays

Le vendredi 18 août s’est tenu à l’Institut de l’Image et du Son (ISIS-SE ) un atelier portant sur les accords de coopération cinématographique et audiovisuelle entre le Burkina Faso et les pays partenaires. Organisé par le département de la Direction générale du cinéma et de l’audiovisuelle, l’atelier avait pour but de porter à la connaissance des professionnels du cinéma et de l’audiovisuelle les informations utiles dans les recherches de partenariats en matière de coproduction.


L’occasion a été donnée aux organisateurs de parcourir les contenus des différents accords, de les évaluer et de les réadapter aux réalités afin de les diffuser auprès des principaux acteurs du monde du cinéma et de l’audiovisuel burkinabé.
Ont pris part à cet atelier, les professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, des cinéphiles, les décideurs, les agents du Ministère en charge de la culture et du Tourisme, les responsables d’écoles de cinéma et de l’audiovisuel et les membres des structures associatives en lien avec le cinéma. Pour la circonstance, 04 communications sur des thèmes touchant au monde de la production cinématographique ont été données. Il s’agit notamment de « la cartographie des partenaires institutionnels publics et l’état des accords signés », « la négociation, la signature et le suivi des accords de coopération cinématographique et audiovisuelle », “des accords de coproduction cinématographique entre le Burkina, le Maroc et la France”.

C’est un atelier qui vient à point pour les producteurs en quête de soutien financier afin qu’ils soient mieux informés des différents canaux de coopération à même de les aider dans le financement de leurs projets. Plusieurs réalisateurs burkinabè ayant bénéficié de ces accords partenariaux ont été cités à titre d’exemple. Aussi, chaque acteur dans ce domaine peut tout autant tirer profit de ces accords de coopération cinématographique et audiovisuelle. Malheureusement, le manque d’information a toujours constitué un handicap majeur pénalisant ainsi de nombreux acteurs de la chaîne de production. C’est là tout le mérite de l’atelier qui se veut non seulement un pallié au déficit d’information mais surtout une forte relance du cinéma au Burkinabè. Un document final répertoriant les différents accords avec le Burkina dans le domaine cinématographique sera mis à la disposition du public pour une large exploitation.

Fatim BARRO

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