Faut-il désespérer de l’Afrique ?, désormais dans vos librairies

Faut-il désespérer de l’Afrique ?, désormais dans vos librairies

Dans le cadre de la 3ème rentrée littéraire du Faso, Boureima Jérémie SIGUE a baptisé une de ses œuvres le vendredi 24 octobre 2014 à Ouagadougou. Intitulée “Faut-il désespérer de l’Afrique ?”, la cérémonie de dédicace s’est déroulée en présence de nombreuses personnalités et du monde de la presse.

Préfacé par le professeur Augistin LOADA, le livre “Faut-il désespérer de l’Afrique?” est un ouvrage de 184 pages qui traite de la gouvernance. L’œuvre a été présentée lors de la 3ème rentrée littéraire du Faso par le docteur KONATE, président de la SAGES. “Faut-il désespérer de l’Afrique ?” est un questionnent qui démontre la grandeur d’esprit de l’auteur. Avec un titre interpellateur, tous lecteurs avisés peut s’approprier la démarche de l’analyse de la société Africaine et peut également apporter des réponses à cette question. Ce livre comporte trois parties essentielles qui se justifient par les trois dimensions de pensée et de l’analyse méthodique que sont, la profondeur, la largeur et la hauteur. La première partie qui s’inscrit dans la profondeur est divisée en sept chapitres. L’auteur dans cette partie interpelle sur les mots de l’Afrique tels l’ethnicisme, le nationalisme, le fanatisme et l’incivisme. Cette partie trace également la voix à une justice indépendante, une éducation citoyenne au respect des mœurs et à une éthique individuelle et collective. Il rappel que dans cette éveil des consciences, les technologies de l’information et de la communication jouent un rôle capital. Dans la deuxième partie de l’œuvre, l’auteur revient sur ces premières années dans la presse. Il consacre l’information et la communication comme deux matrices majeures et appelle à l’ancrage de la presse dans le processus démocratique. La troisième partie est une pp1.jpginterview de l’auteur lui-même portant sur son parcours professionnel. L’auteur, fondateur des « édition le pays » évoque dans cette partie, les difficultés rencontrées par son journal et la situation de la presse Africaine dans son ensemble. Cette œuvre vient à point nommé au moment Burkina Faso est confronté à une crise socio-politique. L’auteur conseil donc pour ne pas désespérer de l’Afrique que la jeunesse se comporte de façon responsable, qu’elle disent non à la fatalité et que les gouvernements dans chacun de leurs actes se souviennent toujours que c’est l’unité de droit qui doit primé. Vivement donc que ces conseils soient pris en compte.
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