Ouverture du Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA)

Ouverture du Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA)

La 18ème édition du Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA) s’est ouverte ce dimanche 26 février 2017 dans la salle polyvalente de Ouaga 2000.


« Formation aux métiers du cinéma et de l’audio-visuel », c’est sous ce thème qu’est placée la 25ème édition du Festival panafricain du cinéma et de l’audiovisuel (FESPACO). Et le Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA) accompagne ce festival depuis 34 ans créant ainsi une vitrine pour les œuvres des cinéastes africains et de la diaspora, nous a indiqué le directeur de cabinet du ministre en charge du commerce et représentant son ministre pour la circonstance.

« Au regard du thème de cette année, je voudrais inviter les institutions étatiques des pays africains à accorder les meilleures facilités aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel afin de booster la production », s’est-il exprimé.
Pour le directeur général de la coopération internationale et du développement de l’Union européenne (UE), Stéfano Manservisi, par ailleurs parrain de cette édition, “le FESPACO est le moment le plus fort et l’UE reste engagée avec le Burkina pour combattre la pauvreté”
Au MICA2017, on y retrouve des stands de divers pays dont le Burkina, la Côte d’Ivoire, le Togo, le Sénégal, le Bénin et ceux de productions internationales pour la promotion de leur cinéma et de leurs activités. Des catalogues, de la documentation n’en manquent pas car ce sont les produits les plus exposés.
Après avoir fait le tour des différents stands, le ministre en charge de la culture du Burkina, Tahirou Barry, a trouvé ce marché très riche et bien fourni. « Il y a l’ensemble des professionnels qui sont présents. Les différents stands sont bien illustrés et c’est une belle opportunité pour les professionnels de discuter affaires afin que cette rencontre du cinéma soit véritablement la plus fructueuse possible », a-t-il expliqué. Quant à la présence du ministre congolais en charge de la culture, Tahirou Barry a affirmé que c’est la preuve que le Congo est un pays qui veut prendre en main la destinée de son cinéma et veut résolument s’engager dans sa promotion. Enfin,
Bernadette DEMBELE

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