La seconde édition de la Biennale Internationale de la Sculpture de Ouagadougou (BISO) a de nouveau ouvert ses portes au public à travers une soirée de vernissage. C’était à l’espace KAYIIRI le 07 octobre 2021 sis au quartier Gounghin de Ouagadougou où la ruelle longeant la devanture de l’espace KAYIIRI grouillait de beau monde.
« Comme chez vous « , c’est sous ce thème que se déroule cette seconde édition « OFF » et ce, jusqu’au 24 octobre 2021.
Trois allocutions ont marqué la cérémonie d’ouverture. Après le message de bienvenue de Kader, le gérant de l’espace KAYIIRI, c’est au tour de la marraine de la cérémonie, Irène TASSEMBEDO de s’adresser aux invités en soulignant la nécessité pour les artisans de construire des ponts entre les différentes disciplines et surtout d’oublier les étiquettes.
« Les arts plastique sont une arme de construction massives qui doivent servir à raconter notre monde, dans toutes ses complexités, dénoncer ses inégalités et ses injustices », a déclaré la marraine de la cérémonie avant de souligner avec force le rôle des disciplines artistiques qui est celui de célébrer les beautés de l’art et de cultiver la cohésion entre les habitants.
Ahmed OUATTARA, Coordonnateur du « BISO off » se dit quant à lui très ému par la mobilisation. Quel sens donne-t-il à la BISO ? la réponse dans la vidéo ci-dessus.
Patrick COULIDIATY
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