Le capitaine Ibrahim TRAORE préside depuis le 30 septembre 2022 aux destinés du pays des hommes intègres. Plus jeune que ses prédécesseurs, il a posé des actes qui ont été appréciés par la majeure partie de la population burkinabé et ce, en 100 jours pour tout dire.
Bien que des voix politiciennes d’une certaine époque s’échinent à peindre en noir ce qui est blanc comme neige, les Burkinabè à travers ce micro-trottoir donnent plutôt leur version des faits :
Voici quelques appréciations :
« Il est difficile d’apprécier le capitaine en seulement 100 jours de fonction. Mais ce que l’on sent aujourd’hui, c’est qu’il semble avoir un changement fondamental », nous explique Seydou NASSOURI.
Lire aussi : Les 100 premiers jours du Capitaine TRAORE, le point !
Et le constat de Monsieur Nassouri ne s’arrête pas là. « Au niveau de l’armée, nous sommes en offensive. Or avant, on nous attaquait. Nous constatons aussi la libération de la région des Banwa (Solenzo). On le félicite pour le moment et on espère qu’il va continuer ainsi », a-t-il ajouté.
Pour Monsieur LANKOANDE, les actes du capitaine en 3 mois sont à saluer, il mérite les éloges de l’ensemble de la population.
« Il a fait trois mois et ses actes sont impeccables. Il n’y a rien à dire ! On est à l’aise ! ». « Il n’a pas encore fini, mais on sent que son commandement est bien, on l’encourage vraiment », poursuit monsieur LANKOANDE …
L’arrivée de Ibrahim Traoré au pouvoir a permis de découvrir certaines vérités qui étaient cachées aux Burkinabè.
« Il a fallu qu’il arrive au pouvoir pour que moi, je sache qu’il y a possibilité de ravitailler les populations en manque de vivres par avion ou hélicoptère », s’est réjouit Moumouni OUEDRAOGO.
Le Burkina est toujours dans une lutte contre les forces du mal. Mais le capitaine ne saurait s’y prendre seul sans l’aide de l’ensemble de la population.
Pour Seydou OUEDRAOGO, l’actuel président implique plus la population dans cette lutte que ses prédécesseurs.
« Il a expliqué à tout le peuple ce qui se passe dans les zones rouges. Il a expliqué comment ces gens souffraient pour manger, mais il a fait le nécessaire pour les ravitailler».
« Il a donné la voie à suivre, et cette voie qu’il a donnée, nous devons l’accompagner », a suggéré Moumouni OUEDRAOGO.
Si ce constat d’accalmie est réel au sein des couches sociales, il reste à poursuivre et à intensifier la lutte pour libérer tout le territoire.
Voici le souhait de quelques burkinabè
Pour Monsieur Nassouri, il faut poursuivre et intensifier la lutte pour libérer tout le Burkina.
« C’est à nous de nous serrer les coudes, pour accompagner le capitaine. Nous demandons la grâce de DIEU sur lui afin qu’il puisse mener à bien sa mission », a souhaité Moumouni OUEDRAOGO.
Mais nous ne cesserons de dire et d’avertir sur le fait que l’ennemi ne dort pas. Le Capitaine Ibrahim TRAORE et son équipe doivent faire en sorte que l’histoire ne nous rattrape plus. Les Cas de Patrice Lumumba, de Thomas SANKARA et de Idriss DEBY ITNO doivent rester des leçons pour nous assurer des périodes victorieuses.
Lèfom Elise DENE
Leave a comment