Imagine : Améliorer les pratiques professionnelles, les impressions des participants

Imagine : Améliorer les pratiques professionnelles, les impressions des participants

Depuis le 28 décembre 2015, les professionnels du cinéma étaient en atelier à l’Institut IMAGINE. Pendant trois jours d’échanges, producteurs, distributeurs, exploitants de salles, collaborateurs artistiques et techniques impliqués dans la fabrication de films long-métrage et à petits budgets se disent suffisamment outillés pour améliorer désormais leur pratiques professionnelles dans le domaine du cinéma.


Initié par succès cinéma, cette tribune du donner et du recevoir à réuni plus d’une cinquantaine de personnes. Au terme de ces activités, les participants se disent satisfaits. Voici les impressions d’un des formateurs :
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formateur.jpgOlivier MUELLER, expert en distribution et en exploitation cinématographique, nous explique le contenu de deux ateliers:
Le but était de faire le point sur la production et de l’industrie Burkinabé du cinéma et chercher des solutions, des initiatives, des innovations possibles pour faire progresser le cinéma Burkinabé dans le sens de la popularité, du professionnalisme et de la qualité.
A quelle conclusion êtes-vous parvenu?
Il n’y a pas de conclusion, mais il faut dire que les gens ici sont tout à fait compétents, j’allais dire de vrais professionnels avec une culture commerciale créative très poussée. C’est vrai qu’il y a plein de défits à relever mais c’est un pays de l’Afrique où il y a une situation encore exceptionnelle, avec toutes ces salles de cinéma, tous ces producteurs qui gravitent autour de FESPACO et qui ont envie de faire des films.
Quelques participants
f1-3.jpgZakaria GNEGNE, exploitant de la salle de cinéma de WEMTENGA,
Doublement satisfait de ces séminaires parce que, nous avons eu des formateurs qualifiés, ce que j’ai beaucoup aimé, c’est la façon de dispenser la formation, qui a été plus axé sur la participation, des échanges de réalités de part et d’autres. Ça nous a permis aussi d’échanger entre exploitant, distributeurs et producteurs. Le cinéma c’est une chaine tandis que la production, la distribution et l’exploitation sont des maillons de la chaine. Si ces maillons sont bien suivis, le cinéma ne peut que progresser. Ça nous a permis de nous renforcer sur la gestion et la promotion des œuvres cinématographiques.
f2-6.jpgAzaratou OUEDRAOGO, chargée de production au film “le dromadaire”
Il y a eu des échanges assez fructueux entre les différents producteurs, exploitants, distributeurs. il y a eu des partages d’expériences, nous en avons bénéficié des ainés et nous allons en tenir compte dans nos productions futures. Aussi, il a été dit au cours des ateliers que les femmes doivent se valoriser en allant vers les maisons de production et montrer surtout ce dont elles sont capables et ce qu’elles savent faire.
Mariama LOMPO</img3563|center>

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